top of page

 
EYO' NLE 

Fanfare Cuivrée Jazz & chanson 

BÉNIN

Le groupe EYO’NLE (“Réjouissons-nous” en Yoruba) a été créé sous l’impulsion de huit jeunes musiciens, dont la motivation est de valoriser la musique béninoise hors des frontières du Bénin en produisant une musique moderne basée sur les rythmes traditionnels du pays.

 

EYO’NLE est un orchestre de cuivres agrémenté de percussions. Sa musique puise dans les cultures GOUN, YORUBA, et TORRI du sud-est du pays. La formation a su allier ingénieusement cet héritage de musique de rue à vocation festive, avec d’une part la tradition musicale béninoise que l’on retrouve dans les percussions et d’autre part un style très jazzy dans l’arrangement des cuivres. Les pieds dans la tradition, la tête dans le modernisme.

 

Le répertoire reflète en conséquence, la dualité de l’homme béninois d’aujourd’hui, proche de ses racines, de ses traditions et qui aborde la vie moderne avec ses problèmes. Le répertoire du groupe est très varié tant par le style que par le contenu. Pendant que les percussions rythment les cuivres, les chants, eux, se collent à l’actualité sociologique : démocratie, sida, chômage des jeunes… Ces chants célèbrent également les divertissements traditionnels, les cérémonies du culte vaudou, les funérailles rituelles, les rites initiatiques.

 

Les prestations scéniques sont très toniques. Avec EYO’NLE, ça chante, ça bouge, ça danse, bref, ça vit !

SPECTACLES

Une Valse à  Cotonou
Scène

Le Karnaval de Dahomey
Rue & Scène

Au gré de ses périples musicaux réguliers en Europe, la fratrie Ahouandjinou croise la fratrie Burguière qui les embarque dans une aventure musicale extraordinaire : la tournée-anniversaire des 20 ans des Ogres de Barback. Deux années de travail en commun et quelques 100 dates en France, Belgique, Suisse, Togo et Bénin.

Cette expérience plonge les quatre frères dans l’univers la chanson française, dans lequel ils retrouvent certains des titres qui ont baigné leur enfance. En effet, Caïman, leur papa, ramenait des 33 tours de France et partageait sans cesse ces musiques venues d’ailleurs.

Tranquillement, l’idée a germé et s’est imposée à eux : ils allaient chanter les textes de ces grands chanteurs français, tout en revisitant les musiques à la sauce Eyo Nlé.

« Une valse à Cotonou» c’est LA fête africaine autour d’une explosion de chansons françaises !

De Brassens à Gainsbourg, en passant par, Minvielle, Nougaro et Barbara, sans oublier Pink, Tête Raides, Fernandel, mais aussi, naturellement, La Rue Ketanou et forcément les Ogres de Barback.

« Une valse à Cotonou » c’est un spectacle chaud en couleur, magnifiquement interprété par quatre frères musiciens et chanteurs pour rendre un hommage à la chanson française, celle qui sent bon le partage, la paix et l’envie de métissage entre les peuples.

Alors pour écouter « La javanaise » sur un coin de plage à Cotonou, une « Barbara » aux accents ensoleillés, des « Rimes » de Nougaro chaloupées… c’est ici que ça se passe, dans « Une valse à Cotonou » !

Une création en partenariat avec: La Fabrique – Messeugne 71/ Le Centre des Arts et Loisirs de Buchelay 78 / La Cave à Musique –Macon 71/ Les Ogres de Barback–Irfan le Label–Alba La Romaine 07. SOLIMA CREUSE (La Naute Champagnat & La Guérétoise de spectacle

Le Karnaval de Dahomey ou le retour musical des années 60 à 80 au Bénin. Acette époque déjà, au Bénin la musique vaudoo a envahi les instruments.

Puis arrive l'influence des musiques noires américaines comme la funk; la soul, Le Jazz mais aussi la musique latino-américaine et le high life. (James Brown, le Dhaomélo, les Blacks Santoago, Los Commandos). Toutes ces musiques se cherchent, s'écoutent, se draguent, se marient et donne naissance à ,ce qu'il y a de plus riche musicalement au Bénin: Le style Djeki ou la salsa afro cubaine béninoise.Aujourd'hui encore aucune musique ne peut rivaliser avec ces rythmes, ces cuivres, ces percussions et ces chants inimitables. 

Le projet d'Eyo' nlé est de faire revivre cette époque musicale qui à fait danser leur parents et qui est malheureusement en train de s'éteindre avec eux. 

Le Karnaval de Dahomey est un projet musical original, populaire et de qualité artistique très exigeante. Les 6 musiciens de la Fanfare Eyo'Nlé peuvent se balader dans les rues et faire swinguer leur cuivres comme à la Nouvelle Orléans, mais on peut également les retrouver sur scène avec le même répertoire.

Karnaval de Dahomey Line Up.jpg

MUSIQUE

EMPREINTE DU PÈRE : Label IRFAN 

https://www.irfan.fr/artistes/discographie/92-empreinte-du-pere.htm 

La Fanfare Eyo'nlé nous emmène dans un voyage unique et authentique le long de ses racines africaines où se mêlent rythmes, danses et chants. Ces huit musiciens ont su allier ingénieusement l'héritage des musiques festives béninoises,que l'on retrouve dans les percussions, et la musique jazzy des fanfares de rue, présente dans les arrangements des cuivres. Alors que les percussions rythment les cuivres, les chants, eux, collent à l'actualité : démocratie, sida, chômage des jeunes. Mais ces chants célèbrent également les divertissements traditionnels, les cérémonies du culte vaudou, les funérailles rituelles et les rites initiatiques. Ça chante, ça bouge, ça danse, bref, ça vit. 

VALSE A COTONOU: Label IRFAN

https://www.irfan.fr/actualites/24-une-valse-a-cotonou.htm

Les frères d’Eyo’nlé ont très tôt été bercés par la chanson francophone, au son des 33 tours que leur père ramenait de ses voyages en France. De Georges Brassens à Serge Gainsbourg, en passant par André Minvielle, Claude Nougaro ou encore Barbara, ces textes et mélodies profondément ancrés, convoquent chez eux bien d’heureux souvenirs. Leurs voyages, rencontres et collaborations avec la scène chanson de ces 20 dernières années (Les Ogres de Barback bien sûr, Pierre Perret, Têtes Raides, La Rue Kétanou, Zebda…) n’ont fait que les conforter dans le désir de rendre hommage à leur manière à ces artistes qui les ont nourris, à travers l’album « Une valse à Cotonou »

 VIDÉO

C’est une idée singulière que développent les quatre frères Ahouandjinou, fameuse famille de musiciens de Porto Novo au Bénin : revisiter, avec leurs influences africaines, la chanson française des années 30 à nos jours.

bottom of page